Bon, puisqu'il faut aussi parfois mouiller la chemise, et parce que ce n'est pas très sportif de laisser les autres s'exposer seuls aux yeux de la critique, je m'y mets aussi. Soyez donc indulgents, ce sont mes premiers mots...
Une. Seule. Seule au lendemain des grands nombres.
Après, c'est vrai, mais ailleurs aussi. Rupture des nombres, calme solitaire.
Un long temps passe.
Une. Seule. Et puis au lointain Un. Fils unique, solitaire aussi.
Une et Un sont maintenant bien. Un égal un.
Un autre temps passe.
Une et Un. Seuls. Et puis au lointain d'autres, portés par l'été.
Un plus Un égal combien?
Un court instant passe.
Une auprès de plein, perdue dans l'océan des Un. Danse des nombres.
Et Un plus Un plus Un, ça fait combien alors?
Une et Un, Une et Un, Une et Un. Peut-être plus même.
Le temps s'égraine.
Un plus Un plus Un, peut-être que ça fait Un; peut-être que ça fait zéro.
Une.
Et au lointain Un.
D'autres textes... Pour l'instant pas grand chose...
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