La panthère rouge dit ce qu’elle a sur le cœur

En ce moment, j’ha­bite en Ita­lie. C’est un fait. Mais bon, ça ne m’empêche pas de me pro­me­ner un peu, notam­ment en France, et en par­ti­cu­lier sou­vent à Cler­mont-Fer­rand. C’est ain­si que j’ai eu l’oc­ca­sion ces der­niers mois de par­ti­ci­per trois fois à l’é­mis­sion Pan­thère Rouge dif­fu­sée un dimanche sur deux, de 18h à 19h sur Radio Cam­pus Cler­mont-Fer­rand (93.3 FM).

J’a­vais déjà par­ti­ci­pé aupa­ra­vant à cette émis­sion, mais en temps qu’in­vi­té. Cette année, j’ai donc eu l’oc­ca­sion de faire une chro­nique au sujet des publi­ca­tions en libre accès, cette petite révo­lu­tion dans le monde de la recherche. Puis un peu plus tard, je me suis essayé (avec une rela­tive mal­adresse que j’es­père com­bler par la suite) à l’a­ni­ma­tion d’une émis­sion com­plète, avec notam­ment un édi­to sur l’ac­tua­li­té. Enfin, j’ai pris la parole pour la chro­nique femme super-héros, en racon­tant l’his­toire de Marie Curie. Là encore, c’é­tait labo­rieux, mais j’es­saye d’ap­pri­voi­ser dou­ce­ment le média, grâce à la gen­tillesse et la patience de Lise. Décou­vrir à ses côtés l’u­ni­vers de la radio, la suivre dans ses réflexions et par­ta­ger ses coups de gueule est passionnant. 

Vous l’au­rez com­pris, cette émis­sion n’a pas de rouge que le nom, on y parle de révo­lu­tion, de poli­tique, de fémi­nisme, d’é­co­no­mie, et de plein d’autres choses pas­sion­nantes. Alors bien que ce ne soit pas direc­te­ment lié, je vais com­plé­ter ce billet par une liste de quelques blogs que j’aime lire, sur des sujets assez proches.

  • Plume de presse est un blog pas­sion­nant, d’un jour­na­liste qui s’in­té­resse à la vie poli­tique, et qui ne fait pas que répé­ter les dépêches AFP : le conte­nu est dense, poin­tu, les ana­lyses sont sou­vent très intéressantes.
  • Sar­ko­France, un blog qui porte bien son nom. On peut y lire un décryp­tage de l’ac­tua­li­té natio­nale, avec un regard aigui­sé sur les gens qui nous gou­vernent en ce moment.
  • Olympe et le pla­fond de verre, le blog d’une fémi­niste pas plan-plan, qui a une posi­tion bien arrê­tée sur Éli­sa­beth Badinter…
  • Bafouillages, un blog qui parle de socio­lo­gie. Son article sur les dif­fé­rentes concep­tions de l’ap­pren­tis­sage à l’u­ni­ver­si­té est vrai­ment passionnant.
  • Hydro­liennes, un blog sur les avan­cées en terme d’éner­gie renouvelable.
  • Enfin, plus proche de l’é­mis­sion de la pan­thère rouge, un ensemble de textes très inté­res­sants pro­po­sés sur car­ré rouge.

Sur ce, bonne écoute, et bonne lecture !

Fonds d’écrans

Cela fait main­te­nant pas mal d’an­nées que je fais mes propres fonds d’é­crans, his­toire d’a­gré­men­ter d’une touche per­son­nelle l’ap­pa­rence de mon bureau. J’a­vais déjà eu l’oc­ca­sion de par­ler ici de fonds d’é­crans dédiés à la dis­tri­bu­tion debian.

Je conti­nue natu­rel­le­ment d’en réa­li­ser, mais à un rythme moins sou­te­nu main­te­nant, en par­ti­cu­lier depuis que j’ai com­men­cé à uti­li­ser KDE 4. En effet, ce bureau pro­pose de poser sur le fond d’é­cran un grand nombre de petits outils, appe­lés plas­moïdes. On y retrouve hor­loges, porte-pho­tos, post-its, lec­teurs de flux rss, météo, etc. Ain­si, en ce moment, l’un de mes bureaux res­semble à ça :

bureau-small

Au début, je voyais ces plas­moïdes comme des gad­gets, mais à l’u­sage, ils sont vrai­ment pra­tiques. La consé­quence de cette uti­li­sa­tion, c’est que les fonds d’é­cran ne doivent plus être aus­si char­gés qu’a­vant. Ain­si, on cherche plus à mettre une tex­ture der­rière les plas­moïdes, sans infor­ma­tion sup­plé­men­taire. Il s’a­git d’une cer­taine manière de fuir l’as­pect froid et vide d’un fond uni. 

J’ai donc com­men­cé à réa­li­ser des fonds d’é­cran pour ajou­ter un peu de tex­ture. En uti­li­sant ma tablette gra­phique, et en com­bi­nant plu­sieurs logi­ciels libres de qua­li­té, comme alche­my, mypaint, ou encore les incon­tour­nables gimp et inks­cape, on arrive rapi­de­ment et sans trop d’ef­fort à des choses comme ça :

fond d'écran 1
fond d'écran 2
fond d'écran 3

Pour l’ins­tant, la gal­le­rie n’en pro­pose que trois, mais peut-être d’autres arri­ve­ront par la suite.