ICCV 2007

Bien sûr, je ne suis pas allé à Rio de Janei­ro pour faire du tou­risme. J’al­lais y pré­sen­ter des tra­vaux sur la car­to­gra­phie de la sur­face cor­ti­cale. Le papier s’in­ti­tu­lait « A Tool for Topo­gra­phic Ana­ly­sis of Elec­trode Contacts in Human Cor­ti­cal Sti­mu­la­tion ». J’ai pré­sen­té ces idées sous forme d’un pos­ter. C’est l’une des manières de pré­sen­ter ses résul­tats scien­ti­fiques (les autres sont de deux types : publi­ca­tion dans une revue scien­ti­fique, et pré­sen­ta­tion orale de 20 minutes environ).

  • Voi­ci le pos­ter que j’a­vais fait impri­mer en grand format.

Mes jour­nées étaient donc majo­ri­tai­re­ment occu­pées par la confé­rence, avec une suc­ces­sion de ses­sions orales et de ses­sions de pos­ters. J’y ai ren­con­tré de nom­breuses per­sonnes très inté­res­santes, ai majo­ri­tai­re­ment dis­cu­té avec des fran­co­phones (mais pas uni­que­ment), et y ai pris un grand plaisir.

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Pour une pre­mière confé­rence de cette ampleur, je ne regrette vrai­ment pas d’y être allé.

Cet article fait par­tie de mon car­net de voyage au Bré­sil.

Rio de Janeiro – La ville

Rio de Janei­ro est un lieu vrai­ment superbe, pour le peu que j’ai pu en voir. Le site est magique, près de la mer, avec une vue superbe, ser­pen­tant entre les montagnes…

Mais Rio n’a pas un seul visage. C’est une ville à l’i­mage du pays, qui est le lieu d’une forte ten­sion liée aux écarts de niveaux de vie. Quand une bonne par­tie de la popu­la­tion vit au-des­sous du seuil de pau­vre­té, avec moins d’un tiers d’eu­ro pour vivre par jour, les pri­vi­lé­giés vivent dans des palaces, consomment outra­geu­se­ment, et étalent leurs richesse. 

Je n’ai pas eu le temps d’al­ler beau­coup plus loin que Copa­ca­ba­na, qui est l’un des quar­tiers de Rio les plus tou­ris­tiques, mais j’ai déjà pu voir à quel point ce cli­vage était pré­sent. C’est d’ailleurs la cause du nombre incroyable de vio­lences. Plu­sieurs per­sonnes dans la conf se sont fait voler toutes leurs affaires, ayant été mena­cés à l’arme blanche.

Cepen­dant, si l’on prend soin de se com­por­ter en res­pec­tant les gens, sans exhi­ber inuti­le­ment ses pos­ses­sions, on peut vivre la ville au rythme des gens. Et c’est très plai­sant. Se pro­me­ner dans les rues, aux cou­leurs superbes, à la vie bouillon­nante, c’est riche en émo­tions. Et quand on a soif, on s’ar­rête dans l’un de ces bars à jus de fruits (et légumes), pour dégus­ter du gua­ra­na, ou du jus de mangue. Un délice.

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Le long du tra­jet pour l’aé­ro­port, j’ai bien sûr tra­ver­sé d’autres quar­tiers, le long du port par exemple, où l’on voyait au loin les fave­las. Une autre réa­li­té existe, loin des yeux des tou­ristes. La vie est dure pour ces gens, mais je n’en ai rien vu, et n’en sais donc rien…

Cet article fait par­tie de mon car­net de voyage au Bré­sil.

Trajet en avion

J’ai long­temps hési­té à par­tir au Bré­sil pour cette confé­rence. La pre­mière rai­son était l’o­bli­ga­tion d’a­voir un pas­se­port à puce RFID. L’autre rai­son était l’im­pact éco­lo­gique de dépla­ce­ments en avion… Mais fina­le­ment, je n’ai pas réus­si à résis­ter à l’en­vie de par­ti­ci­per à ce colloque.

Mon labo­ra­toire a donc réser­vé un tra­jet Clermont->Paris->Rio par Air France, via Fram. J’a­vais natu­rel­le­ment pré­ci­sé que j’é­tais végé­ta­rien (et même végé­ta­rien sans pro­duits lai­tiers). À l’al­ler, aucun sou­ci, on m’a ser­vi un pla­teau spé­cial. L’a­van­tage est qu’on est ser­vi avant les autres, que la qua­li­té du repas est assez bonne, j’ai l’im­pres­sion légè­re­ment supé­rieure à la ver­sion omnivore.

Et puis au retour, j’i­gnore encore pour quelle rai­son, ils n’a­vaient aucune infor­ma­tion par­ti­cu­lière sur mon ali­men­ta­tion. Il se peut que l’er­reur soit venue d’Air France comme de Fram, qui aurait réser­vé un aller végé­ta­rien, et un retour clas­sique. Étrange…

Tou­jours est-il que l’un des chefs de cabine a pris la situa­tion en main, en me disant qu’il allait me pré­pa­rer un pla­teau en tenant compte de mes choix ali­men­taires. J’ai juste atten­du quelques minutes, et j’ai vu arri­ver un pla­teau rem­pli comme jamais, 2 fois plus gar­ni que celui de mes voi­sins, avec une mul­ti­tude de choses meilleures les unes que les autres. Je n’ai même pas réus­si à tout finir, et ai gar­dé deux fruits pour le len­de­main matin.

Mora­li­té : si Air France se plante par­fois, il arrive que l’on tombe sur des gens très com­pé­tents, qui ne vous regardent pas comme un extra-ter­restre. Et c’est assez plai­sant. Il me semble d’ailleurs avoir com­pris que le chef de cabine en ques­tion ne man­geait pas de viande. Peut-être ceci explique-t-il cela.

Cepen­dant, je retien­drai une autre chose de ce tra­jet en avion : outre la pol­lu­tion due au dépla­ce­ment, j’ai été outré par le nombre d’emballages jetables, et de petits objets tout aus­si jetables qu’on nous a dis­tri­bués. C’est tel­le­ment rin­guard, ce com­por­te­ment du tout jetable, tel­le­ment peu res­pec­tueux de la pla­nète sur laquelle nous vivons… Incroyable que ça soit encore possible.

Cet article fait par­tie de mon car­net de voyage au Bré­sil.

Gay pride

Pas de chance, le car­na­val de Rio ne tom­bait pas pen­dant mon séjour à Copa­ca­ba­na. Mais une autre fête était d’ac­tua­li­té : la gay pride. Rio de Janei­ro accueille la 2e plus grande mani­fes­ta­tion de ce type dans le monde. En tant que fan de musique élec­tro­nique, et pas her­mé­tique aux reven­di­ca­tions d’é­ga­li­té que défendent les homos, je ne pou­vais pas man­quer d’as­sis­ter à cette grande fête.

Dès le matin, des semi-remorques se sont garés le long de la plage. Il devait bien y en avoir une tren­taine. Les véhi­cules étaient pleins de cou­leurs, avec des mes­sages de reven­di­ca­tions fortes (du type « sup­pres­sion de la poli­tique de nata­li­té au Bré­sil », ou encore dénon­cia­tion des meurtres à carac­tère homo­phobe). La remorque de chaque camion sup­por­tait un énorme mur d’en­ceintes, sur­mon­té par une piste de danse.

Pen­dant la jour­née, je suis allé assis­ter à la confé­rence, et déjà en début d’a­près-midi nous enten­dions les basses réson­ner dans tout l’hô­tel. Et puis vers 17h, nous sommes sor­tis. J’ai alors pas­sé une bonne par­tie de la soi­rée à dan­ser, pro­fi­tant de cha­cune des per­for­mances des DJs. Quelle puis­sance de son !

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C’é­tait génial, plein de monde, le public très varié, depuis le grand-père sur sa chaise de cam­ping jus­qu’à la drag queen, en pas­sant par la petite famille avec enfant, les couples hété­ros ou homos… Le tout dans une ambiance très calme, contrai­re­ment à ce qu’an­non­çaient les gens de la conf…

Cet article fait par­tie de mon car­net de voyage au Bré­sil.

Carnet de voyage au Brésil

J’ai enfin pu récu­pé­rer mes pho­tos du Bré­sil (mer­ci encore Romu pour le coup de main), aus­si vous allez voir appa­raître dou­ce­ment sur ce blog quelques billets rela­tant ce voyage. J’ai choi­si de ne pas struc­tu­rer ces billets chro­no­lo­gi­que­ment, mais plus de les struc­tu­rer par thème.

Vous les trou­ve­rez en par­cou­rant la caté­go­rie Bré­sil de ce blog. L’en­semble des pho­tos de mon voyage sont dis­po­nibles sous forme de gale­rie.

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L’i­mage ci-des­sus, acces­sible en haute réso­lu­tion est un pano­ra­ma de la plage de Copa­ca­ba­na, où je me suis pro­me­né pen­dant une semaine. 

Bonne visite !

Dans la série « mais quelle chance »

De retour du Bré­sil, j’a­vais déjà en tête la liste des billets que je vou­lais pos­ter ici, agré­men­tés de pho­tos prises pen­dant mon voyage. Mais voi­là, après que mon écran m’a lâché, c’est au tour de mon appa­reil pho­to… 4 ans de bons et loyaux ser­vices, et paf ! Donc pour les pho­tos, il fau­dra attendre que je trouve un lec­teur de carte…

On dirait que je riva­lise avec Éme­line, qui elle se bat notam­ment avec une douche et un ordi­na­teur

Péripéties : suite (et fin?)

Der­nier jour de pré­pa­ra­tifs pour mon départ à Rio. Le matin, j’en pro­fite pour appe­ler mon impri­meur, et véri­fier que le pos­ter est prêt. J’a­vais déjà appe­lé 3 jours avant, et on m’a­vait dit que ça serait prêt pour jeudi.

Mais petite sur­prise, ils n’ont pas reçu mon pdf, et mal­gré la com­mande fax, ils étaient tou­jours en train d’at­tendre ! Pour­quoi alors lun­di était-ce ok ?

Puisque je pars demain de Cler­mont après midi, ils ont accep­té de faire pas­ser en prio­ri­té l’im­pres­sion, je pour­rai donc aller cher­cher mon pos­ter demain vers midi. Croi­sons les doigts.

Un peu plus tard dans la jour­née, après pas mal de bou­lot, et un cours à don­ner, je file à la banque récu­pé­rer ma carte. Ouf, elle est bien là. Je com­mence à m’é­loi­gner de la banque quand sou­dain, me prend l’en­vie d’al­ler véri­fier qu’elle fonc­tionne. Retour à la banque, test de la carte sur une borne de retrait auto­ma­tique. Le code est ok, je choi­si un mon­tant, puis valide. Auto­ri­sa­tion refu­sée ! Arg !

Je retourne donc au gui­chet, où ils com­mencent à bien me connaître. Je leur donne le numé­ro de mon agence à Nantes, ils les contactent devant moi : « ah oui, elle n’é­tait pas en ser­vice, c’est nor­mal mon­sieur. » Super…

Bref, ce soir, je pense être presque prêt à partir… :) 

Péripéties bancaires

Ma pre­mière publi­ca­tion ayant été accep­tée dans une confé­rence inter­na­tio­nale, je pré­pare donc ces temps-ci un voyage à Rio de Janei­ro. Je pars ven­dre­di pour une semaine, emme­nant sous mon bras un pos­ter qui pré­sente pour une bonne par­tie mes tra­vaux de l’an­née der­nière sur la car­to­gra­phie de la sur­face du cerveau.

Or, par un hasard tel que seule la vie nous offre, ma carte de paye­ment arri­vait à expi­ra­tion fin sep­tembre 2007. Rien de grave, me direz-vous. Dans l’ab­so­lu, c’est vrai. Mais voi­là, je suis client de l’une de ces banques à la ges­tion régio­na­li­sée, et à la suite de mul­tiples démé­na­ge­ments, je me retrouve à 500km de mon agence. Bien sûr, comme la plu­part du temps j’u­ti­lise leur site inter­net, je n’a­vais jamais fait l’ef­fort de faire trans­fé­rer mon compte.

Devant la situa­tion un peu com­pli­quée qui s’an­non­çait, j’a­vais donc pris soin d’ap­pe­ler mon avance deux semaines avant la fin sep­tembre, pour pré­ve­nir de ma situa­tion. Manque de chance, dans cette fabu­leuse banque, cer­tai­ne­ment pour « ratio­na­li­ser les ser­vices », les appels télé­pho­niques sont gérés par un cen­tral régio­nal. Ce cen­tral me conseille donc de rap­pe­ler plu­tôt de rap­pe­ler un peu plus tard pour deman­der l’en­voi de ma carte en Auvergne, car « on pour­rait perdre votre demande, vous savez. » Super. Soit, j’at­tends donc une semaine, et rap­pelle. Je demande donc à ce que ma carte soit livrée dans une agence près de chez moi. On m’in­dique qu’ils ont eu quelques sou­cis, et que donc cet envoi risque de se faire après le début d’oc­tobre. Là je com­mence à flip­per : je pars tout de même au Bré­sil le 12, et si avant un ché­quier me suf­fi­ra, ça risque de deve­nir impos­sible de l’autre côté de l’Atlantique.

Début octobre, je reçois un coup de télé­phone « votre carte est par­tie, pas de sou­ci, vous pour­rez aller la reti­rer dans votre agence d’i­ci peu de jours. » Ouf !

Nous sommes main­te­nant le 8 octobre, je me pré­sente donc dans ladite agence. Ils n’ont aucune trace de ma carte. Oups. Je com­mence à pani­quer, j’ap­pelle le cen­tral régio­nal de mon agence en Loire-Atlan­tique, ils m’an­noncent que la carte ne semble pas être par­tie de la pre­mière agence. Le stress monte… Je leur demande donc de relan­cer le trans­fert, en essayant de se dépêcher.

Le len­de­main, mar­di 9, je tente d’ap­pe­ler l’a­gence locale pour savoir s’ils ont reçu ma carte. Le cen­tral télé­pho­nique n’est pas capable de me don­ner l’in­for­ma­tion, et toutes les lignes sont occu­pées : il ne peut pas me les pas­ser. J’ap­pelle mon agence nan­taise, pour véri­fier que la carte est bien par­tie. Après m’être bat­tu avec le cen­tral télé­pho­nique nan­tais, j’ar­rive enfin à contac­ter mon agence. « La per­sonne qui s’est occu­pée du trans­fert de la carte est en congé mala­die, on n’a aucune infor­ma­tion. » Quel pro­fes­sion­na­lisme ! Quelle classe ! Je me pré­sente donc de nou­veau à l’a­gence auver­gnate (à 20 minutes en tram de mon bou­lot). Tou­jours pas de carte. J’ex­plique ma situa­tion au gui­chet, mais ils n’y peuvent rien. Là c’est le pom­pon. Des coups de télé­phone dans tous les sens. Les deux agences se joignent, n’ar­rivent pas à se dépa­touiller de la situa­tion. Je com­mence à évo­quer la ques­tion d’un autre moyen de paye­ment. Ça semble dur pour eux.

Fina­le­ment, l’a­gence de Nantes m’ap­pelle : ils ont réus­si à contac­ter l’employée en congé, elle a bien envoyé la carte le ven­dre­di. On se dit donc que le len­de­main, la carte devrait être à Cler­mont-Fer­rand. On se met d’ac­cord pour reprendre contact le len­de­main matin. Le soir, je m’en­dors donc par­tiel­le­ment rassuré.

Mer­cre­di matin, pas de nou­velles de ma banque. Je décide donc de me rendre à l’a­gence locale, pour récu­pé­rer la carte. Bien sûr, j’ai aus­si des ensei­gne­ments à don­ner, je ne peux pas par­tir comme ça. Fina­le­ment, à 16h, j’ar­rive à l’a­gence. Ils cherchent de nou­veau ma carte, n’ar­rivent pas à la trou­ver. Ils se mettent à 3, retournent tous leurs tiroirs, tou­jours rien. Entre temps, ils appellent Nantes, qui leur confirme avoir bien reçu l’ac­cu­sé de récep­tion : c’est bien Cler­mont-Fer­rand qui a per­du ma carte
Je com­mence à sérieu­se­ment envi­sa­ger de trou­ver un autre moyen de paye­ment inter­na­tio­nal. « Je vais être franche, nous n’a­vons rien à vous pro­po­ser. » Pas de tra­ve­lers en stock, rien d’autre… Ils m’as­surent qu’ils m’ap­pe­le­ront dans la soi­rée, après avoir véri­fié tous leurs tiroirs. Je com­mence à désespérer.

En ren­trant chez moi (il est 17h), j’en pro­fite pour appe­ler ma banque à Nantes, et leur deman­der s’ils voient un autre moyen de paye­ment. À part emme­ner des euros en liquide, rien. J’en pro­fite pour leur indi­quer ce que je pense de leur pro­fes­sion­na­lisme, et de la durée esti­mée de mon compte à mon retour de Rio…

Et enfin, à 18h, l’a­gence d’Au­vergne m’ap­pelle : quel­qu’un avait mis ma carte de côté à Jaude pour qu’on pense à me la don­ner. Arrrg ! Ils l’a­vaient depuis le début, je me suis donc bat­tu, ai cou­ru dans tous les sens, payé des com­mu­ni­ca­tions sur­taxées, man­qué plu­sieurs heures de bou­lot, tout ça pour ça !

À mon retour de Rio, change de banque, c’est déci­dé. Et qu’on arrête de me dire que les ser­vices publics sont inef­fi­caces. La ges­tion des banques pri­vées, avec ses réduc­tions de per­son­nel, et ses ser­vices sur­taxés dépasse tout ce que j’ai pu voir jus­qu’à présent. 

Réglage d’écran

Il y a quelques temps, j’a­vais récu­pé­ré un écran Sun de grande taille (21 pouces). Manque de chance, son affi­chage était très flou. En cher­chant un peu, j’a­vais trou­vé une solu­tion pour le résoudre, à l’aide d’un tour­ne­vis et d’un peu de patience. J’a­vais mis le mode opé­ra­toire en ligne.

Cepen­dant, cet écran n’est pas mon écran de tra­vail prin­ci­pal. J’en uti­lise un autre, un 19 pouces de chez LG, un fla­tron. J’en suis très content, la finesse de sa dalle est un luxe dont j’au­rais main­te­nant du mal à me pas­ser. Mais hier soir, en l’al­lu­mant, j’ai décou­vert un affi­chage tout flou. Quelle galère ! Et pas de doute, c’é­tait bien l’é­cran qui avait un sou­ci, car même le menu de réglage fron­tal était affi­ché de manière floue.

Alors j’ai repris mon tour­ne­vis, et entre­pris de le démon­ter pour le régler…

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J’ai fini par trou­ver les 3 vis que j’a­vais uti­li­sées sur l’autre écran :

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Mal­heu­reu­se­ment cette fois-ci, il semble que ça ne suf­fise pas : le flou n’est pas fixe dans le temps, et peut varier d’une minute à l’autre…

Je me demande si un répa­ra­teur TV sau­rait s’en dépa­touiller… Sinon, il semble que ce modèle soit l’un des der­niers écrans CRT encore ven­dus, il fau­dra sans doute que j’y passe.